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Recherche par auteur : Le Clézio, Jean-Marie Gustave

26 résultats. Page 2 sur 2.

Durée : 8h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13528
Résumé:Nassima quitte sa mère, et, déguisée en garçon, s'embarque en cachette à bord du Azzar. D'instinct, cette petite métisse effarouchée et perdue apprivoise les deux occupants du bateau, des hommes rudes et silencieux. Bravito, jeune Indien, élevé à Panamá par un pasteur noir américain, retrouve son village natal au bord du fleuve. Là, il réapprend les gestes et les coutumes de ses ancêtres. Pourchassé par les contrebandiers et les policiers véreux, il se cache dans la forêt, où il vit comme un animal sauvage. Les deux courts romans (ou longues nouvelles), Hasard et Angoli Mala, sont écrits à quinze ans d'intervalle. Ils évoquent pourtant le même apprentissage, celui de l'amour, de la nature, du mal aussi. Lequel est le miroir de l'autre ?
Durée : 8h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14065
Résumé:Géographe et universitaire, Daniel Sillitoe, le narrateur, débarque au Mexique dans les années 80 dans le but d'effectuer les relevés topographiques des Terres chaudes de la région du Tepalcatepec. Parti à la rencontre de la terre mexicaine, Daniel croise deux tentatives réalisées d'utopies. L'Emporio, tout d'abord, sorte d'université populaire regroupant une communauté de chercheurs en sciences humaines autour de la figure de Don Thomas. Là, il deviendra l'amant de Dahlia, une jeune Portoricaine alcoolique. Parallèlement, la rencontre de Raphaël lui fait découvrir Campos, une communauté en marge, dans laquelle " on n'enseigne que la vie ", où les enfants sont rois et dont la langue est " l'elmen ", sorte de créole aux accents enfantins. Daniel s'inventera encore une autre quête, celle de Lili de la lagune, une prostituée qu'il n'aura de cesse de retrouver aux lisières de l'Emporio, avant d'assister à la disparition des deux utopies collectives.
Durée : 1h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 9905
Résumé:Présentation de l'éditeur : Daniel ne parle presque pas et n'a pas d'amis. On dirait qu'il dort les yeux ouverts. Il a l'air de venir d'ailleurs. Il aurait pu s'appeler Sindbad le Marin, dont il a lu les aventures, le seul livre qu'il connaisse par coeur : son regard ne s'anime que lorsqu'on lui parle de mer et de voyages. Mais la mer, il ne l'a jamais vue. Alors, un jour de novembre, sans rien dire à personne, il s'en va pour ne plus jamais revenir...
Lu par : Bernard Delannoy
Durée : 6h. 56min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 8870
Résumé:L'auteur signe un conte initiatique voire un roman d'apprentissage pour adultes, nous rappelant avec force qu'il est plus d'une manière de perdre l'innocence. Une oeuvre généreuse, une allégorie humaniste qui souffre un peu d'angélisme. Mais l'écriture est toujours aussi simple et belle, accessible à tous. Le Clézio évoque de nombreux auteurs notamment Truman Capote et La Harpe d'herbes, qui le fit connaître aux États-unis en 1951.
Lu par : Martine Moinat
Durée : 5h. 48min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 6516
Résumé:Cinq nouvelles, dont une longue de cent pages. Cinq saisons, dont une des pluies. Cinq femmes, vues, entrevues, rêvées, pour tenter de dire la fragilité, l'étrangeté, la recherche de l'amour et de soi-même, l'errance et l'appartenance, la mémoire ou l'oubli, le temps qui ne passe pas et les lieux anciens qui s'enfuient.
Lu par : Marcel Pahud
Durée : 10h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 1551
Résumé:Avec Désert - prix Renaudot en 1980 - Le Clézio, écrivain discret, presque secret, accède à une reconnaissance enthousiaste du public. Depuis, sa notoriété ne s'est pas démentie au fil d'une production pourtant singulière, tant par la forme qui rompt avec le formalisme du roman que par les thèmes toujours en marge d'un monde qui avance irrémédiablement. Nourris au sein de la nature vierge, de la mer ou des déserts, les personnages de Le Clézio, abreuvés de légendes intimes ou porteurs de l'histoire des peuples, errent inlassablement sur les chemins du retour. La certitude de l'appartenance, le souvenir des paysages perdus, constituent les forces vitales que ne peuvent ébranler la vulgarité des hommes ou l'emprise de la ville. Telle Lalla, arrivée dans les quartiers sordides de Marseille comme un navire échoué, mais avec la lumière du désert dans les yeux et le sang des guerriers du Rio de Oro dans les veines. Alors, si la force de l'identité rend tout exil cruel, elle tient aussi lieu d'espoir...